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SPORT ET ...ENDORPHINE

 

13/05/2011
Aujourd'hui 1 français sur 4 fait du sport au moins une fois par semaine. Si pratiquer un sport est nécessaire à une bonne hygiène de vie, pour certain cela vire à l'obsession.

Pourquoi? Voici toutes les réponses.

Après une séance importante de sport, il est fréquent que l'on ressente une sensation de plaisir extrême. En effet, après un entraînement intensif, notre cerveau sécrète de l'endorphine, une hormone de plaisir. Cette hormone se disperse alors dans tout le corps agissant comme un massage interne hyperelaxant. C'est pourquoi le sport a des vertus anti-stress.

Mais il ne suffit pas de courir quelques mètres pour se sentir bien! Pour arriver à cet état euphorisant, il faut maintenir l'effort pendant au moins une demi-heure. Certains sports provoquent plus de plaisir que d'autres, notamment les sports d'endurance comme la course à pied, le vélo ou la natation. Plus une personne s'entraîne longtemps, plus elle va sécréter de l'endorphine. Par de simples prises de sang sur des sportifs, pratiquant intensément ces sports d'endurance, les scientifiques sont parvenus à mesurer que l'on pouvait ainsi multiplier par 5 son taux d'endorphine !

Et certains sportifs deviennent addicts au sport ou plus précisément à cet état de bien être qu'ils connaissent après la pratique du sport. C'est le phénomène d'accoutumance. Pour ressentir cet effet de plaisir, le sportif a besoin d'une dose quotidienne d'endorphine de plus en plus forte. Cette accoutumance peut avoir des conséquences dramatiques : fractures, fragilisation des articulations ou encore insomnies… mais pas seulement! L'organe le plus touché quand on fait trop de sport, c'est le cœur. En effet, la pratique intense d'un sport pourrait vieillir prématurément les artères.

Fatigue, douleurs, problèmes cardio vasculaires, pourquoi certains sportifs vont-ils au delà de leurs limites ? C'est là que l'on retrouve les effets des endorphines. Elles bloquent la transmission des signaux douloureux émis par le cerveau et réduisent la sensation de douleur. C'est pourquoi les sportifs obsessionnels poussent leurs corps au delà des limites.

Voici donc quelques conseils pour doser votre activité sportive.

- Premièrement, ne faites pas plus de 90 minutes de sport par jour. Le risque de dépendance est accru par la production en excès d'endorphine. L'idéal est d'avoir une activité sportive trois fois par semaine entre 30 minutes et une heure.
- 2ème conseil: Variez les sports! Si vous faites toujours le même sport, ce sont vos mêmes muscles et articulations qui travaillent. En changeant régulièrement de sport, vous faîtes travailler diverses parties de votre corps et le fatiguez beaucoup moins!
- Enfin dernier conseil : Préservez votre cœur ! Souvent quand nous faisons du sport, nous dépassons le seuil de nos capacités respiratoires, c'est cela qui fragilise le cœur. Un moyen simple de s'assurer que nous pratiquons un sport à une bonne intensité cardiaque: c'est le fait de pouvoir parler pendant l'activité.

Vous savez maintenant comment bien pratiquer le sport tout en prenant soin de votre corps.

 

DOCUMENT         m6.fr      LIEN

 

DÉFINITION

Les endorphines sont des hormones sécrétées par des glandes cérébrales, l'hypophyse et l'hypothalamus, et qui sont présentes dans de nombreux organes dont le cerveau et la moelle épinière notamment. Ces hormones ont des effets proches de la morphine utilisée en guise de médicament antalgique. Elles sont émises dans des moments d'effort physique, d'excitation intense, de douleur, ou d'orgasme. L'endorphine a tout comme la morphine, des propriétés de diminution des douleurs en se fixant sur les récepteurs morphiniques situés dans le thalamus au niveau des centres régissant la douleur. Les endorphines provoquent une sensation de bien-être, de relaxation.


DOCUMENT           sante-medecine       LIEN

 
 
 
 

LES VITAMINES

 

    
LES  VITAMINES

TABLEAU  COMPLET

DOCUMENT       nutri-site.com     LIEN

 
 
 
 

LE HOQUET - SYMPTÔMES - TRAITEMENT

 

Le hoquet : définition, symptômes, traitement

Souvent, le hoquet se dissipe très rapidement. Néanmoins, il peut prendre parfois la forme d'une véritable maladie lorsqu'il dure plus de 48 heures.
Les spécialistes considèrent qu'il s'agit d'un héritage de nos plus vieux ancêtres les poissons et de leur ventilation brachiale ou de la respiration des batraciens. GARO / Phanie /AFP

Qu'est-ce que c'est ?
Le hoquet est un réflexe respiratoire qui se caractérise par une succession de contractions involontaires du diaphragme. Cela provoque des expulsions d'air, associées à une fermeture de la glotte, et la production d'un son : le "hic", bien caractéristique du hoquet.

Comment ça s'explique ?
Le hoquet est provoqué par l'irritation du nerf phrénique, qui est chargé d'innerver le diaphragme.
Un réflexe ancestral...
Les spécialistes considèrent qu'il s'agit d'un héritage de nos plus vieux ancêtres les poissons et de leur ventilation brachiale ou de la respiration des batraciens. Ce réflexe est réutilisé par le cerveau pour défendre l'œsophage. "Dans la grande majorité des cas, il est dû à une acidité de l'œsophage ou un problème au niveau de l'estomac  : un ulcère, des reflux gastriques ou une œsophagite", explique le Pr Jean Cabane.
(Source : Sciences et Avenir, Hugo Jalinière)
Le hoquet, qui dure généralement quelques minutes, peut être déclenché par : un fou rire, une toux, des chatouillements, un repas trop copieux ou trop épicé, un repas ingurgité trop rapidement (une tété trop rapide chez les nourrissons) ou encore le stress.
Quels sont les symptômes ?
Le hoquet se manifeste par un bruit particulier émis par la bouche. Un "hic" incontrôlable qui survient souvent à l'inspiration avec une sensation brusque de contraction de l'abdomen. Le spasme peut se répéter jusqu'à une fois par seconde mais disparaît très rapidement. Chez le nourrisson, il se produit souvent après la tété ou le biberon, et avant que le bébé ne fasse son rot.
Dans des cas plus rares, le hoquet peut être chronique et durer plus de 48 heures.


Que faire en cas de hoquet ?
Il existe de nombreuses méthodes pour faire passer le hoquet. En voici quelques-unes :
• boire de l'eau froide sans respirer,
• inspirer une bouffée d'air et arrêter de respirer,
• modifier son rythme respiratoire (par exemple respirer très lentement).
Comment prévenir le hoquet ?
Pour prévenir le hoquet, il est conseillé de manger léger, peu épicé et dans le calme. En outre, les boissons gazeuses doivent être évitées.
Quand consulter ?
Il est conseillé de consulter un médecin quand le hoquet persiste depuis plus de 48 heures ou devient trop fréquent. Dans ce cas, le médecin pourra alors prescrire des examens pour déterminer les causes d'une éventuelle maladie.
Il faut également consulter un médecin quand le hoquet s'accompagne de douleurs au niveau du ventre, de vomissements ou de difficultés à respirer.
Quelles sont les conséquences ?
Le hoquet s'arrête en général spontanément. Il est sans danger. Quand il devient chronique, il peut être associé à une maladie plus grave, comme l'œsophagite. Le hoquet peut alors être très handicapant dans la vie quotidienne (difficultés pour s'endormir, pour boire, manger...). A long terme, il provoque des insomnies et des troubles alimentaires. En outre, il peut avoir des répercussions importantes sur la vie sociale.
Rédaction : Audrey Pelé

 

 DOCUMENT       sciencesetavenir.fr      LIEN

 
 
 
 

BENZODIAZÉPINE ET ALZHEIMER

 

Une étude française publiée dans la dernière édition du British Medical Journal le confirme : la prise régulière de benzodiazépines sur une période supérieure à 3 mois augmente fortement le risque de survenue de la maladie d'Alzheimer. 


   qu'est-ce que les benzodiazépines ?
Les benzodiazépines sont une classe de médicaments psychotropes, c'est-à-dire qui agissent sur le système nerveux central (cerveau et moelle épinière) en modifiant certains processus chimiques naturels (physiologiques), ce qui entraîne des modifications  de la conscience, de l'humeur, de la perception et du comportement.
Les benzodiazépines ont des propriétés anxiolytiques (contre l'anxiété), myorelaxantes (décontractant musculaire), hypnotiques (provoquant le sommeil), antiépileptiques (contre l'épilepsie) et amnésiantes (provoquant des troubles de la mémoire).
Ils sont couramment utilisés dans le traitement de troubles tels que l'anxiété, les spasmes, l'insomnie, les convulsions, l'agitation ou lors d'un sevrage alcoolique.
En quoi l'usage prolongé des benzodiazépines est-il dangereux ?
On sait depuis de nombreuses années que la prise de benzodiazépines au-delà d'1 mois entraîne une accoutumance (besoin d'augmenter les doses pour obtenir le même effet), une dépendance (difficulté voire impossibilité de se passer du produit), et que l'arrêt du traitement peut provoquer un syndrome de sevrage (réapparition des symptômes de façon plus marquée, risque de chute de la tension artérielle, de délire psychotique, d'hallucinations, de convulsions, de malaises, ...).
L'étude menée par Sophie Billioti de Gage, chercheuse à l'Inserm, et son équipe, vient compléter de ce tableau déjà sombre en démontrant que les benzodiazépines augmentent considérablement le risque de développer la maladie d'Alzheimer.
La maladie d'Alzheimer, maladie neurodégérative par excellence, touche près de 900 000 Français.
L'étude de l'équipe de l'Inserm
Les travaux ont porté sur près de 9000 personnes âgées de plus de 66 ans, qui ont été suivies pendant 6 à 10 ans.
Ils ont démontré que la prise quotidienne de psychotropes pendant plusieurs mois augmente le risque de développer une maladie neurodégénérative :
        une prise quotidienne pendant 3 à 6 mois augmente le risque de maladie d'Alzheimer de 30 %
        une prise quotidienne pendant plus de 6 mois augmente le risque d'Alzheimer de 60 à 80 %
Les Français sont particulièrement concernés
La France détient le triste record de championne du monde en matière de consommation de psychotropes (en 2012, près de 12 millions de Français en auraient pris au moins 1 fois).
Les benzodiazépines sont le plus souvent prescrits pour traiter le stress, l'anxiété et les troubles du sommeil : autant de symptômes qui peuvent être pris en charge par des solutions alternatives (phytothérapie, homéopathie, acupuncture, ...), sans oublier que le fait d'"effacer" les symptômes ne résoud pas la question de la cause, et que par conséquent ces symptômes réapparaissent généralement à l'arrêt du traitement.
Ce phénomène entraîne alors une consommation prolongée au-delà des recommandations des autorités sanitaires, qui limitent à 12 semaines maximum ce type de traitement : de nombreux patients prennent des psychotropes pendant des années ...
Conclusion
Cette étude vient confirmer la dangerosité des psychotropes.
Il reste à souhaiter qu'elle sera un facteur déclenchant pour une remise en question de la prescription de ces médicaments qui agissent sur le cerveau :
        en ne les proposant pas en première intention pour traiter un stress, une anxiété, une insomnie, ...
        en limitant strictement leur usage à une durée n'excédant pas 3 mois si le recours à des telles molécules est indispensable.
Les patients, quant à eux, doivent être conscients des risques encourus avec de tels traitements pour s'orienter vers d'autres prises en charge (médecine alternative, psychothérapie).
Liste alphabétique des principaux médicaments à base de benzodiazépines :
Alprazolam Générique
Anxyrex
Ativan
Bartul
Belseren
Bromazépam Générique
Bromiden
Clobazam Générique
Clonazépam Générique
Clozan
Demetrin
Dialag
Diazépam Générique
Dormicum
E-Pam
Euhypnos
Frisium
Halcion
Havlane
Hypnovel
Imeson
Lectopam
Levanxol
Lexomil
Lexotanil
Librax
Librium
Lorazépam Générique
Loridem
Lysanxia
Megavix
Midazolam Générique
Mogadon
Myolastan
Narcozep
Nitrazépam Générique
Noctamide
Noctran
Nordaz
Normison
Novazam
Nuctalon
Oxazépam Générique
Paceum
Panos
Planum
Prazépam Générique
Psychopax
Quietiline
Restoril
Rivotril
Rohypnol
Serax
Serenase
Seresta
Sigacalm
Stesolid
Témazépam Générique
Temesta
Tétrazépam Générique
Tranxène
Tranxilium
Triazolam Générique
Urbanyl
Valium
Veratran
Versed
Vivol
Xanax
Source : Inserm

 

DOCUMENT      vulgaris-medical.com     LIEN

 
 
 
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