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FORMATION MÉDICALE

 

FORMATION MÉDICALE 2011 – LA E-PÉDAGOGIE AU CŒUR DE L'ODONTOLOGIE.
Titre : Formation médicale 2011 – La E-pédagogie au cœur de l'Odontologie : scénarisation d’un cours virtuel de Prothèse Fixée en L2
Auteur (s) : Céline BRUNOT-GOHIN (Reims) ; Rafaël CABRERA (Reims) ; Daniel EUDES (Reims)
Résumé : Se former derrière et par l’intermédiaire d'un ordinateur a été pendant longtemps considéré comme incompatible, voire contraire à une pratique clinique sur patients en Odontologie. Néanmoins, l’Internet fait partie intégrante de la vie de la jeune génération (la digitale native) et ne peut plus être ignoré par la Prothèse. L’e-learning est rentré sur les campus virtuels plongeant notre enseignement préclinique et clinique de Prothèse Fixée (PF) dans l’ère numérique.
A ce jour, l’apprentissage en ligne est reconnu comme une méthode pédagogique efficiente et complémentaire pour l’enseignement. La Prothèse Fixée n’échappe pas à cet engouement technologique et pédagogique, qui plus est avec l’émergence des techniques d’empreintes optiques et l'incursion des logiciels de modélisation pour la Conception et Fabrication Assistée par Ordinateur (CFAO). Des supports pédagogiques virtuels alliés à des outils de communication en ligne permettent un enseignement de la Prothèse sous un angle nouveau. L’efficacité du e-learning en Prothèse Fixée repose, tout comme celle du présentiel, sur un cocktail de facteurs pédagogiques, humains, et techniques. Un projet de promotion en L2 est mis en place cette année pour granulariser notre enseignement magistral et scénariser nos séances de travaux pratiques de PF. Les supports pédagogiques utilisés sont le document Word, le fichier power point, la vidéo, et des bandes sonores enregistrées. Ces documents sont téléchargeables dans le cours virtuel (bureau virtuel de l’Université de Reims Champagne-Ardenne (URCA). Par ailleurs, un travail transversal est réalisé avec le Certificat Internet et Informatique (C2i) ainsi qu’un travail vertical avec les redoublants en L2. Ces travaux sont œuvrés et agencés dans des parcours pédagogiques d’apprentissage (à distance et en ligne) ; des e-tests d’auto-évaluation viennent examiner l’étudiant à distance et en ligne validant l’acquisition des connaissances par l’étudiant.
Le bilan de notre pratique du e-learning en Prothèse Fixée montre que le blended-learning reste l’apprentissage le plus performant, quel que soit le niveau de l’étudiant grâce au mélange des outils en présentiel et en ligne.
Différents problèmes sont mis en lumière à ce jour, d’une part du côté des e-learner pour lesquels la possession d’un ordinateur et d’une imprimante reste indispensable, et d’autre part du côté des enseignants pour lesquels la formation reste complexe et chronophage. La conception et le développement de notre cours virtuel ont été longs et fastidieux mais la qualité de nos supports pédagogiques sont sans aucune mesure de meilleure qualité. L’apprentissage est plus rapide et plus efficace pour les étudiants à condition que l’e-teacher soit régulièrement en ligne. Le e-learning permet ainsi une meilleure communication entre l’enseignant et les étudiants.
Le travail collaboratif réalisé entre la cellule des TICE et la Prothèse Fixée au sein de notre composante universitaire promulgue le blended-learning pour en faire une méthode d’apprentissage courante.
Le rôle majeur de l’enseignant reste pour une matière clinique comme la Prothèse Fixée, de veiller sur la qualité et la maîtrise de ces nouveaux outils technologiques afin que cette digitale native ne devienne pas une digitale naïve.
L’auteur n’a pas transmis de conflit d’intérêt concernant les données diffusées dans cette vidéo ou publiées dans la référence citée.
Conférence enregistrée lors des Etats Généraux de la Formation Médicale (EGFM) : Enjeux, Parcours, Evaluation. Communications orales : utilisation des TICE

 

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PHYSIQUE BIOLOGIE ET MÉDECINE

 

INSTRUMENTS DE LA PHYSIQUE AU SERVICE DE LA BIOLOGIE ET DE LA MÉDECINE


Sept chercheurs présentent des applications récentes en médecine et biologie de techniques mises au point au départ dans le domaine de la physique. Sigrid Avrillier (Laboratoire de physique des lasers, Villetaneuse) décrit un capteur laser qui permet de mesurer les propriétés d'oxygénation des tissus. Le principe de l'appareil repose sur l'analyse de la réflexion d'un rayon laser par un tissu biologique : lorsque le laser entre en contact avec la peau, on observe une tache de couleur due à la réémission de lumière par le tissu. Philippe Lanièce (Institut de physique nucléaire, Orsay) présente le système de tomographie gamma haute résolution TOHR. TOHR est utilisé pour obtenir une image du cerveau d'un petit animal (ici un rat). Le marqueur radioactif utilisé est le technétium. Pascal Laugier (Laboratoire d'imagerie paramétrique, Faculté de médecine de Paris) étudie l'utilisation des ultrasons en imagerie médicale. Un test basé sur l'analyse d'une image du calcanéum, un os du talon, a été mis au point pour mesurer l'évolution de l'ostéoporose. Bernard Renault (Laboratoire Neurosciences cognitives et imagerie cérébrale, hôpital de la Pitié Salpétrière de Paris) utilise la magnéto-encéphalographie et l'électro-encéphalographie pour localiser les zones d'activité du cerveau et les relier aux gestes du patient. Les zones activées sont visualisées par des gradients de couleur sur les images de la tête. L'intérêt de la magnéto-encéphalographie est sa résolution temporelle exceptionnelle (de l'ordre du millième de seconde). Mathias Fink (Laboratoire Ondes et acoustique, Ecole supérieure de physique et de chimie industrielle de Paris) est un spécialiste de la propagation des ultrasons. Il présente d'abord un détecteur d'ultrasons à très haute fréquence qui permet de visualiser les ondes de cisaillement dans les tissus et de différencier ceux-ci en fonction de leur dureté (détection de nodules plus durs que les tissus mous qui les entourent). Est ensuite décrite une technique de correction du front d'onde qui permet d'éliminer les effets de distorsion engendrés par les os du crâne dans l'échographie cérébrale. Jacques Bittoun (Unité de recherche en résonance magnétique médicale, hôpital du Kremlin Bicêtre) utilise l'IRM pour étudier les fonctions cardiaques et pulmonaires. L'air qui remplit les poumons étant insensible à la RMN, il faut utiliser de l'hélium hyperpolarisé, inoffensif pour l'être humain. L'IRM cardiaque permet de visualiser la vitesse et l'accélération du sang dans l'aorte. Didier Chatenay (Laboratoire de dynamique des fluides complexes, Strasbourg) s'intéresse à la structure de l'ARN. Une "pince optique" (laser) permet de manipuler une molécule d'ARN pour mesurer à l'aide de la microscopie par ondes évanescentes le repliement lors de la transcription. Le repliement est également étudié par simulation numérique.

Générique
Auteur, réalisateur : Olivier Blond Producteur : CNRS Audiovisuel Diffusion : CNRS Diffusion Copyright CNRS 2001

 

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AUTISME

 

Paris, 30 avril 2012


Un modèle de souris pour comprendre les causes synaptiques de l'autisme

L'autisme, grande cause nationale 2012, sera un sujet d'actualité en France tout au long de l'année. Paradoxalement ce syndrome, et surtout ses origines, restent mal connus. Une étude, publiée le 29 avril 2012 dans la revue Nature, présente la première caractérisation neurobiologique et comportementale d'une souris mutée pour le gène SHANK2 qui est associé à l'autisme chez l'homme. En février dernier, l'équipe du Pr Thomas Bourgeron avait démontré que des mutations génétiques dans SHANK2 identifiées chez des patients avec autisme perturbaient le nombre de synapses, points de contact entre les neurones. Ces nouveaux résultats obtenus sur des souris mutantes pour SHANK2 confirment la diminution des synapses et pointent des anomalies spécifiques de certaines régions du cerveau. De plus, les souris sont hyperactives, elles présentent des problèmes d'interactions sociales et vocalisent moins et différemment que les souris non mutées. Ces résultats permettent de mieux comprendre l'origine neurobiologique des troubles du spectre autistique. Ils sont le fruit d'une collaboration franco-allemande entre une équipe de l'unité de Génétique humaine et fonctions cognitives (Institut Pasteur/CNRS/Université Paris Diderot) et des chercheurs de l'université d'Ulm (Allemagne) et du centre de Neuroscience de Berlin (Allemagne).
Les troubles du spectre autistique (TSA) regroupent un ensemble hétérogène de maladies du développement neurologique dont les origines génétiques sont mal connues. Des mutations dans plus d'une centaine de gènes ont déjà été associées aux TSA, mais il est difficile d'évaluer leurs rôles précis dans les fonctions neurales et de hiérarchiser leur importance relative. Les analyses génétiques menées au sein de l'unité de Génétique humaine et fonctions cognitives (Institut Pasteur/CNRS/Université Paris Diderot) ont permis de mettre en évidence des mutations dans des gènes codants des protéines localisées au niveau des synapses, les points de contact et de communication entre les neurones. Un de ces gènes, SHANK2, a été associé récemment à l'autisme et a permis de confirmer le rôle des anomalies synaptiques dans l'autisme1.

Les nouveaux résultats publiés le 29 avril 2012 dans la revue Nature montrent l'effet de la perte de ce gène SHANK2 chez la souris. Les chercheurs du groupe de Tobias Boeckers (Ulm, Allemagne) ont montré que les souris mutées dans le gène SHANK2 avaient moins de synapses que les souris non mutées. L'analyse comparée de plusieurs régions du cerveau a montré que l'impact de la mutation différait selon les régions du cerveau (impact fort dans le striatum, modéré dans l'hippocampe et faible dans le cortex). D'autre part, le groupe de Michael R. Kreutz (Berlin, Allemagne) a montré que les courants synaptiques sont aussi différents.

Enfin, le comportement de la souris a été étudié par le Dr Elodie Ey dans l'équipe du Pr Thomas Bourgeron, chef de l'unité de Génétique humaine et fonctions cognitives (Institut Pasteur/CNRS/Université Paris Diderot). Les souris ne montrent pas de problèmes physiques majeurs ni de problèmes de mémoire. Par contre, elles sont hyperactives et plus anxieuses par rapport aux souris non mutées. De façon intéressante, les souris présentent aussi des problèmes d'interactions sociales ainsi qu'une baisse du nombre et une altération de la structure des vocalisations ultrasonores. Le rôle de ces vocalisations ultrasoniques n'est pas encore bien compris mais le fait qu'elles soient quantitativement et qualitativement différentes chez les souris mutantes ouvre de nouvelles voies pour l'étude plus approfondie des mécanismes sous-jacents à la communication vocale.

"L'établissement de modèles animaux est crucial pour comprendre les origines multiples de l'autisme" explique le Pr Thomas Bourgeron, chef de l'unité de Génétique humaine et fonctions cognitives. (Institut Pasteur/CNRS/Université Paris Diderot). "Nous espérons qu'ils permettront d'identifier de nouveaux traitements basés sur les connaissances acquises".

Cette étude a été financée grâce au concours de Baustein,  la Fondation de France, l'Agence Nationale de la Recherche (ANR), Deutsche Forschungsgemeinschaft, Bundesministerium für Bildung und Forschung, Einstein Foundation, Neuron-ERANET, la Fondation Orange et la Fondation FondaMental.

 

DOCUMENT              CNRS              LIEN

 
 
 
 

DIABÈTE DE TYPE 2

 

Paris, 12 juillet 2013


Certaines anomalies chromosomiques expliqueraient le risque accru de cancer dans le diabète de type 2


Certaines anomalies chromosomiques, de type pré-leucémiques, apparaissent surreprésentées chez des diabétiques de type 2 (DT2) souffrant de complications vasculaires. Cette découverte pourrait en partie expliquer la surmortalité par cancer chez les patients présentant un diabète de ce type. Ces résultats ont été mis en évidence par une équipe franco-britannico-qatarie coordonnée par le Professeur Philippe Froguel du laboratoire Génomique et maladies métaboliques (CNRS/Université Lille 2/Institut Pasteur de Lille), en collaboration avec des équipes rattachées à l'Inserm, à l'AP-HP et aux universités Paris Diderot et Paris-Sud1. Leurs travaux sont publiés le 14 juillet 2013 sur le site de la revue Nature Genetics.
Plus de 200 millions de personnes sont diabétiques dans le monde, et un diabétique sur trois souffre de complications vasculaires ou nerveuses. En 2012, deux études publiées dans Nature Genetics ont montré que de larges anomalies chromosomiques clonales en mosaïque (ACM)2 touchant de grandes portions de chromosomes (voire leur intégralité), apparaissaient dans l'ADN de cellules sanguines ou salivaires de certaines personnes vieillissantes. Ces travaux ont en outre suggéré que les ACM prédisaient le risque de cancers, notamment de leucémies, chez ces individus. La fréquence des ACM est en effet négligeable chez les individus de moins de 50 ans, alors qu'elles touchent 2% des personnes de plus de 70 ans chez qui elles décuplent le risque de cancers, notamment hématologiques.

Par ailleurs, le diabète de type 2 (DT2) est une maladie accélératrice du vieillissement et de ses maladies associées. Le DT2 est ainsi caractérisé par une augmentation marquée du risque de cancer, en particulier de cancers hématologiques comme la leucémie.

L'équipe de Philippe Froguel étudie depuis plusieurs années le DT2. Elle s'est demandée, si tout comme le grand âge, le DT2 entraînait l'apparition d'anomalies chromosomiques de type ACM dans les cellules sanguines. Pour cela, les chercheurs ont utilisé une technologie d'analyse génétique peu onéreuse qui repose sur des puces à ADN de quelques centimètres carrés sur lesquelles près d'un demi-million de mutations de l'ADN sont gravées. Chaque puce permet de « disséquer » entièrement le génome d'une personne.

Par cette méthode, les chercheurs ont évalué la présence d'ACM dans l'ADN sanguin issu de 7 437 individus de plus 50 ans, incluant 2 208 patients présentant un DT2. Résultat : la fréquence des porteurs d'ACM est 4 fois plus élevée chez les patients présentant un DT2 que chez les personnes témoins. De plus, les scientifiques ont confirmé un effet significatif de l'âge sur la présence d'ACM. De manière plus précise, ils ont montré que les porteurs diabétiques d'ACM affichaient un DT2 bien plus sévère – présence de complications vasculaires (aux yeux, aux reins ou au cœur) - que les non-porteurs. Malgré un poids plus bas que ces derniers, 70% des diabétiques porteurs d'ACM présentaient des  complications micro- et/ou macrovasculaires liées au DT2. La présence de certaines anomalies chromosomiques de type ACM pourrait ainsi en partie expliquer la forte fréquence de cancers chez les diabétiques de type 2.

Cette étude pourrait avoir des implications cliniques importantes, notamment pour détecter des états précancéreux chez certains diabétiques. Une analyse génétique des ACM utilisant les puces à ADN pourrait ainsi être proposée, principalement chez des patients avec un DT2 sévère associé à des complications vasculaires précoces. 

 

DOCUMENT                CNRS                LIEN

 
 
 
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